Andori, L'Europe après l'Apocalypse.
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23 ans après l'Apocalypse, la Noblesse est réinstaurée, les Scientistes imposent lentement leur suprématie. Tout ça n'est qu'une façade, venez découvrir la face cachée d'Andori, l'Europe ravagée par l'Apocalypse...
 
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 Moïra PILEV

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AuteurMessage

Moïra Pilev

Moïra Pilev


Féminin
Messages : 17
Age : 20
Hybride : /
Arme : Rapière et mon corps.

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MessageSujet: Moïra PILEV   Moïra PILEV Icon_minitimeSam 10 Déc - 20:53

PILEV Moïra
17 ans -20/01/2004- Femme


▐ PIrate▐ ▌Rapière simple▐ ▌Ne parle plus à ses parents, veuve une fois, remariée▐

Moïra PILEV Moira10

I'm only...



CARACTERE
PHYSIQUE
J’étais réservée et timide, voir introvertie avant de rencontrer Luc. Bien entendu, mes crise de colère étaient déjà là mais beaucoup plus étouffé. Je me cachais, m’enfermait sur moi-même, je m’intoxiquais. Et puis je me suis coupé de mes parents, j’ai tué mon ancien mari et aujourd’hui, je suis une femme complète. Je pense être juste en me qualifiant de franche. Parfois méchante, cruelle et sadique dans mes propos. C’est un fait je prends plaisir à dire une vérité acérée, mais au moins elle est dite et on ne pourra pas me reprocher d’avoir caché le vrai. J’aime dire ce que je pense, si je vais bien ou pas bien, si ta tête me plait ou pas, si je pense que ton voisin est un imbécile ou si au contraire il m’intéresse. C’est une habitude que j’ai pris en étant en compagnie de Luc, car me taire c’est redevenir cet être insignifiant que j’étais sur Rage, mon île natale, c’est redevenir l’ombre des gens, c’est comme ne plus exister. Et si vous n’êtes pas content ? C’est le même tarif, un coup de pied aux fesses en cadeau offert par la maison. Je n’ai plus l’habitude de prendre des pincettes alors si je te demande plus ou moins amicalement de virer de ma vue, un conseil, courrez avant que je ne vois rouge...

Autre qualité, je suis appliquée et consciencieuse dans ce que je fais, la médecine, la couture... Même si je suis parfois qualifiée de « bourrine » si vous n’êtes pas capable de retenir vos larme alors je ne vois pas pourquoi vous êtes rendu à être matelot.

Ho chose à ne pas oubliée, je suis une possédée du pêcher de la colère, cela me donne des crises de folies meurtrière passagère que seul Luc arrive à calmer, il a un don... Rassurant ? Non ? Vous auriez raison, alors surtout, ne vous amusez pas à ma titiller, il se pourrait qu’une rapière vous fende le crâne avec la force de plusieurs hommes réunit. Même si je ne sais pas manier une lame, je sais comment on coupe une tête... Lors de ces crises, avant et après, mon assurance atteint son paroxysme devenant souvent de l’arrogance voir de la témérité et parfois de la vulgarité dans mes propos (j’avoue que cela ne change pas de mon habitude...). J’ai un coté rentre-dedans et j’aime me faire charmer, un petit peu... (Oui... lorsque cela devient trop long, cela m’agace) Je suis également curieuse lorsque je suis calme et je peux être aussi douce que sauvage dans l’intimité.
Je ne saurais me décrire précisément. On m’a toujours dit que j’avais un visage agréable et que seul cela importait, enfin, c’était d’après ma famille. De façon objective, je dirais que je suis de taille moyenne, c’est certain, 1m60 pour 55kilo, je ne suis pas maigre et pourtant cela ne se remarque pas. Pas que je suis grosse ! N’allez pas croire que je suis obèse, manquerait plus que ça, et puis cela risquerait de me mettre légèrement en pétard si vous voyez ce que je veux dire. Mais c’est que les muscles... ça pèse son poids. Je n’aie pas non plus la carrure d’un homme, je suis d’ailleurs assez fine et fière de mes courbes féminines. Plus sérieusement, es cheveux sont très blond, tellement blond qu’a une certaine luminosité on pourrait croire qu’ils sont blanc, une erreur de génétique. Je dis erreur car mes parents ont tout deux vécue à Rome, une ville d’avant l’apocalypse. Le seul gène qui pourrait éclaircir ma chevelure proviendrait de la mère de mon père qui était originaire d’Allemagne. Ma peau est blanche également à cause de toutes mes années en intérieur et également le lien du sang avec ce pays du nord que je n’ai jamais connu. Mon regard n’est un mélange de couche noisette et de bleu foncé qui dépend comme pour mes cheveux, de la luminosité et pour le coup mon sang italien ressort par là. Mon nez est trop petit, et mes lèvres également, ces jugements sont le propre du caractère d’une fille. J’aurais pu avoir une belle paire de joue à l’heure qu’il ait, mais ma joue droite est barrée d’une infâme cicatrice faite lors de ma rencontre avec Luc. Elle me barre la joue de moitié tout de même. De toute façon on ne peu pas la manquer, on ne peut voir que cela. Et d’ailleurs, cela me tape sur les nerfs lorsqu’on la regarde trop intensément et peut être la source d’un de mes crises.

Parlons de chose plus positive. Mes vêtements, imaginé et créé par moi-même, être née dans une famille qui pratique la couture de façon intensive cela peut aider niveau savoir faire, et puis il y a ma paire de botte en cuir blanc offerte pas ma mère lorsque j’ai quitté la maison pour celle de mon ancien mari. Il s’agit là bien qu’une paire de botte ultra sexy, c’est un symbole, le symbole de l’Italie, ce pays dont j’ai toujours rêvé et qui est à présent enfoui sous l’eau, la botte de l’Italie, elles ne me quittent jamais sauf dans des occasions comme mes ébat amoureux avec mon mari qui aime à prendre son temps pour les délacer.
Moïra PILEV Moirav10
feat Prussia???(de Axis Power : Hetalia)


You can know it...



HISTOIRE
La tempête est proche, je la sens arriver, je la sens dans mes os, ou alors c’est seulement à cause de mes cheveux électriques. Un orage turbulent sera bientôt là et mes lèvres se fondent en un sourire me donnant un air diabolique. Cela fait cinq bonnes minutes que j’ai escaladé le gréement pour me trouver où je suis. Je me sens presque sereine à voir ce monstre de la météo se diriger droit vers nous, d’un coté, je me sens rassurée, je ne suis plus la seule à faire éclater ma colère. De nouveau, mon visage se contorsionne pour me faire légèrement sourire. Cela me rappel mon enfance, ma toute petite enfance. Oui, je m’en rappel encore...

Lorsque j’étais enfant, je vivais sur Rage, l’île de la colère de l’Est. J’avais une sœur, Carmen, de dix ans mon ainée qui était destinée à être capitaine de navire. Mes parents, eux aussi s’intéressaient à la mer, mais avaient préférer rester sur terre, reconstruire ce qu’ils avaient perdu lors de l’apocalypse. A ce qu’ils m’ont raconté, ils étaient originaires d’une terre baptisée « Italie » et qui avaient la particularité de représenter une botte à talon haut. Cette représentation m’aura toujours fait sourire alors que tout cela m’est étranger. Mes parents avaient été les héritiers d’une boutique de tisserand de très grande qualité et j’ai toujours compris le pourquoi ils en étaient arrivé à créer les voile solaire de nos bateau. De ce fait, on m’apprit très vite à coudre les lourdes et épaisses voiles emplies de technologie. Je ne devais pas avoir loin de cinq ou six ans. Et moi, pendant ce temps, je rêvais d’être comme ma sœur, levée tôt le matin pour m’entrainer à l’escrime ou partir en mer pendant deux mois. J’en rêvais. Carmen avait tout ce que j’aurais voulu être, la fierté de nos parents, à croire que je n’existais pas, pas plus visible qu’un chat ou un oiseau. Je me rappelle encore de ma première colère. J’aurais voulu à tous leurs arracher les yeux et les piquer avec les aiguilles lorsque mon père m’annonça clairement qu’il n’avait pas l’intention de perdre son temps avec moi et que dès qu’il me jugerait prête, il me trouverait un mari correcte. Pff, quelle hérésie... je me souviens de m’être mordue l’intérieur de la joue, d’avoir serré mes poings sous la table, tout cela pour me retenir de hurler et puis j’étais sortit et je m’étais mise à courir vers un coin désert de la plage. J’avais passé le reste de ma journée à fracasser des caillons contre les rochers. Je me souviens encore de la satisfaction que j’avais éprouvée en imaginant le craquement sinistre des os de mon père à la place du choc que produisaient les pierres. J’étais revenue, calme et pleine de rancœur, et ces moments de folies me prirent fréquemment depuis.

Au final, nous réussiront peut être à passer juste à coté de la tempête, mais ce n’est pas sûr. Cette incertitude me met les nerfs à vifs. Je sens que le premier qui fera une remarque débile va en prendre pour son grade et que si il essaye de faire le mariol, il va morfler. Je soupire, je suis en train de m’énerver avec des hypothèses. Je fais craquer mon poignet et le remet où il se trouvait précédemment et j’attends...

Tout comme mon mariage, je l’attendis avec aigreur et anxiété jusqu'à ce que l’on me présente mon futur mari lors de mes treize ans. Il était quelconque et banal. C’était un important marchand ou du moins fils d’un important fils de marchand. A mes treize ans, il en avait tout juste dix-neuf et montrait autant d’intérêt que moi à notre union. Je ne dirais pas qu’Alphonse était quelqu’un de méchant, seulement indifférents aux choses qui ne l’intéressait pas et j’en faisais partie. Ou du moins, j’en faisait partie la plus part du temps... Car quelques mois après être entrée dans ma nouvelle famille, j’eus le « bonheur » de pouvoir rencontrer certains capitaines de navires ou chef d’îles et à ces moment là, je semblais devenir tout l’univers de cet homme dont je ne connaissais rien. Peut être était-ce dû au fait que j’étais plutôt jolie et que l’orgueil d’Alphonse était trop grand pour se satisfaire de sa petite personne, il préférait exhiber ma chaire comme un bijou précieux. Je ne dis pas qu’il ne me trouvait pas à son gout, il consommait notre mariage régulièrement et à heure fixe, moment que je trouvait ennuyeux et désagréable et qui m’agaçait au plus haut point, d’ailleurs j’en cassais souvent quelques vases et vaisselle.

On m’appelle en bas. Je fronce les sourcils et grimace puis au final fait comme si je n’avais pas entendu. Mais l’appel recommence et je suis obligée de descendre. Sans regarder où je mets mes pieds et mes mains, l’habitude me guide jusqu’au sol. Ça va barder !

Un soir, j’avais cassé un vase qu’Alphonse venait d’acquérir, il s’était mit en colère et m’avait insulté. Je lui ai balancé quelque chose à la figure, il esquiva facilement.

- emmène moi où tu l’as eu et je t’en rachète un. Il n’y que l’argent qui t’importe de toute manière !!!

Ce n’est pas que j’étais vexée qu’il ne s’intéresse pas à moi. Il ne s’agissait que d’un prétexte pour partir en voyage, sortir de ce monde étriqué. Du plus loin que je me souvienne, je n’avais jamais prit la mer. J’étais bien entendue déjà montée sur un bateau, mais jamais je n’avais quitté Rage, mon île natale. Et l’envie de voir autre chose mordait ma curiosité au point de ne plus le supporter.

Notre dispute se solda par ma victoire. J’en étais assez fière et je fus encore plus fière lorsque le navire quitta le port. L’avenir allait être différent du passé et cela allait sûrement me calmer.

J’étais loin de me douter que vendre des draps dans un bordel serait aussi ennuyeux. Je n’avais pas le droit de m’éloigner d’Alphonse sous prétexte que les gens n’étaient pas digne confiance. Cependant, je le soupçonnais de ne pas avoir confiance en moi... Et il avait sûrement raison, car depuis que j’avais gouté à l’océan plusieurs plans d’évasion c’était imposé à moi. Mais je n’avais pas l’intention de tenter quoi que ce soit, ma famille m’aurait renié largement.

Le destin est imprévisible et incontournable et un jeune homme entra dans ma vie. Il était certain qu’il détenait un savoir faire incontestable pour le charme et la séduction et justement Alphonse ne l’accepta pas. Un duel s’en suivit et l’inconnu mis sa vie entre mes mains. Le début du combat était largement inégale, mon mari était armé et non son adversaire. J’étais dans le flou et me leva pour tenter quelque chose... Je n’aurais jamais dû. Alphonse, grandement contrarier voulu me repousser mais sa lame me mordit la joue et je me reculai par la force des choses. Je ne peux dire si c’est de me savoir balafrer ou devoir mon propre sang sur mes mains qui déclencha la plus grosse colère que j’avais eu jusqu'à présent. J’avais alors impression que mon sang bouillant dans mes veines que ma soif et ma faim ne pourraient être étanché que pas la mort et le sang. La victime de mon courroux, une seule cible : Alphonse. Bien qu’il soit à terre, je n’eus aucun scrupule à lui fracasser le crâne, à essayer de le tuer encore et encore... L’inconnu, c’était Luc. Et il me calma en me faisant l’amour. C’était merveilleux. Je ne saurais décrire ni comparer à un autre plaisir... Luc m’avait, sans le savoir, délivrer de chaîne qui m’entravait depuis ma naissance. J’étais enfin libre de disposer de moi-même comme je le voulais. Il restait ma joue à recoudre. Je voulu le faire seul et cela me valus cette infâme cicatrice que me barre le visage et que me donna la volonté d’apprendre la médecine rudimentaire.

Je supposer que ce fut à cause de la mort accidentelle d’Alphonse que l’on dû, Luc et moi, prendre la mer. On nous conseilla un bateau et nous nous engageâmes. Mon plaisir de prendre de nouveau le large fut troublé par l’emprisonnement de Luc. La capitaine semblait insensible à son charme et décida de la punir en l’enferment dans la cale. Je voulu lui rendre visite plusieurs fois mais la chose me fut interdite. Alors pour passer le temps, je conclu un marché avec le médecin de bord. S’il me prêtait ses livres de médecine et me donnait des conseils, je lui offrais mon corps. Le pacte fut celer et j’appris à soigner les petits bobos tout en vendant mon corps. La seule chose que je regrettai fut de ne pas avoir su recoudre la peau avant de me faire cette horreur de cicatrice.

Quelques jours plus tard la capitaine me mis au pied du mur. Elle me tournait autour depuis le début du voyage. Je l’avais remarqué et eu bien du mal à garder mon calme. J’aurais dû craquer, mais je ne sais pourquoi elle m’intriguait. Un jour elle me fit appeler. C’était bien une semaine après que Luc ait été enfermé. Ces avances se firent plus pousser, je la repoussai de façon rude et son intérêt devint colère dans son regard. Elle m’emmena ainsi que Scarlett, la précieuse épée de Luc, dans la cale à l’endroit où il était enfermer, il était enchainer, ses mains ne pouvaient même pas atteindre sa ceinture. J’imaginais le supplice qu’il devait vivre et j’avais mal pour lui. Sans me laisser l’occasion de prendre des nouvelles, la capitaine me plaqua violement contre le mur en bois pour me couper toute retraite possible. Elle me mordit assez fort dans le cou, me faisant grimacer et gémir.

- je te veux Moïra je te veux là et maintenant, devant le prisonnier.

J’essayai de la repousser, mais cela me fut impossible et cela amusa la femme. Elle se pressa d’avantage contre moi pour me murmurer à l’oreille que si je ne lui obéissais pas, j’irais sur la planche en compagnie de Luc. Entre obéir ou mourir, je pouvais bien obéir. Alors elle me déshabilla lentement, devant un Luc qui se tordait d’envie de pouvoir atteindre sa ceinture avec ses mains. Plus elle me caressait et plus j’essayais de réprimer gémissement et petits cri humiliant. Je ne pu me contenir bien longtemps devant les doigts expert de la capitaine. Je me laissai aller au plaisir qu’elle me procurait. Derrière les barreaux, Luc n’en pouvait plus. Il suppliait ma tortionnaire de lui délier les mains. Cela sembla l’amuser et d’un geste désintéresser, elle lui balança les clés pour lui défaire les mains. Elle n’aurait jamais dû. Par un procédé mécanique Scarlett qui était sur une table près de moi, arriva dans la main de Luc qui en quelques coup fus libéré de sa prison. Cette même lame embrocha le corps de la capitaine surprise, la collant à la parois de son navire. Et Luc me lança un regard et sans que je ne pu rien dire, je me retrouvais devenir un objet de plaisir. J’aurais pu me mettre en colère. J’aurais pu, mais le plaisir qu’il fit naitre en moi me fit oublier les détails. Ni la capitaine, ni le médecin de bord et encore moins Alphonse n’avait été capable de me faire autant de bien. De nouveaux nous nous retrouvions enlacer grâce à du sang.

Tout ce bouquant pour juste un petit doigt à recoudre. Dés fois je me demande vraiment si ce n’est pas un navire de petites bourgeoises en vacances. C’est quoi ces hommes qui couine au moindre petit bobo à la moindre petite écharde ? De plus il à fallut que ce soit moi qui me déplace, comme si le véritable médecin de bord ne pouvait pas s’en charger. Je l’avais envoyé chercher le matos le temps que je gueule sur le mousse qui me regardait avec des yeux de merlan frit. Nan mais je vous jure, plus aucun homme de valable sur ce rafiot. Peut être Luc... Mais ça serait tout le bout du monde.

Je repense à notre voyage sur le bateau à la capitaine embrochée. Après cela, Luc fut de nouveau emprisonné avant de recevoir le jugement de la seconde. Il survécu à son épreuve. Je crois que cet épisode, cette traversé avait été l’occasion de lier d’autre lien que charnel entre Luc et moi. Nous passâmes de nombreuses semaines à se côtoyer alors que le navire était en mode sous-marin. Nous échangeâmes beaucoup de complicité... Et puis l’abordage du navire de Laïca... Une nouvelle colère me prit. Parce que je n’avais pas les bonnes compétences, je devais rester sur le navire et veiller à son bon fonctionnement... Au final, ce fut un mal pour un bien, j’exerçais pour la première fois sur autrui ce que j’avais apprit en médecine. Après cet épisode, nous retournâmes à terre. J’en profitais pour donner signe de vie à mes parents, et leur apprendre que j’étais devenue, comme ma sœur, une pirate. Mais pour eux, cela ne valait rien. J’avais tué mon mari, un homme respectable, et ils me considéraient comme une catin d’être souvent accompagner de Luc. Une nouvelle colère. Une fois de plus j’allais faire ce que mes parents voulaient, et j’emmenais Luc de force pour que l’on se mari. Voilà, je n’étais plus considérée comme une veuve éplorée. Mais cela ne m’empêcha pas de leur cracher au visage et de leur souhaiter adieux. Je m’en allais, je me détachais de la dernière attache que j’avais avec eux. J’allais faire ma vie comme je l’entendais, plus de conscience, plus d’attache, plus de regards durs sur mes actions, plus de destin tout tracé. Je montais avec fierté sur le pond du El Intento. J’allais être seconde médecin et remplir avec brio mon poste de Voilière...


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* Problème médical : Crises de colère soudaines et meurtrières.



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MessageSujet: Re: Moïra PILEV   Moïra PILEV Icon_minitimeJeu 15 Déc - 9:00

Tu es Validée =D Bienvenue parmi nous, amuse toi bien surtout ^.^ Youhou on a notre deuxième pirate \o/
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