Forme Humaine
Belith, Alias Alice de son nom humain, mesure 1m78, ce qui est grand pour une femme. Elle possède de longues jambes et une taille mince. Ses cheveux on la couleur du feu, d’un rouge éclatant. Elle possède un grain de beauté sur le côté gauche du visage, ce qui rajoute une petite touche sur son visage. Elle affiche généralement un air sévère de séductrice, proche du prédateur devant une proie sans défenses. Elle porte généralement une robe ou un tailleur noir ce qui complète à merveille son look sérieux et prédatrice.
Ses yeux bleu, luisant d’une lueur malsaine achèvent de donner à Alice sa force de présence. On peut ainsi opter pour deux réactions lorsqu’on se retrouve face à elle : la soumission ou l’admiration.

Spoiler:

Forme Démoniaque
La forme démoniaque de Belith est une véritable vision d’horreur. Mi femme, mi araignée, elle mesure entre 4 et 5 mètres de long pour 3 de haut. Ses pates possèdent une grande force ce qui la rend d’autant plus dangereuse, mais sa force brute n’est pas ce dont il faut le plus se méfier. Son visage, complètement déformé affiche de larges dents apparentes et ses yeux sont d’un noir profond dans lesquels il serait facile de se perdre. Ses vêtements affichent des motifs changeants troublants.

Dire que Belith est une psychopathe serait réducteur tant elle est plus que cela. Elle est le démon du mensonge et de la tromperie et en tant que telle, elle baigne dans ce qu’il y a de plus noir et de plus malsains. Elle aime la torture, la cruauté, le sexe violent et la domination. Elle pousse les hommes et les femmes dans la luxure et l’adultère quand elle n’est pas occuper a pervertie tout ce qu’il y a de bon en eux. En effet, le mensonge est l’une des première marche vers le mal et ce changement se fait sournoisement tant le mensonge est parfois séduisant.

Mis à part ses tendances de démone, Belith aime la séduction et la domination. Voir les gens à ses pieds est pour elle une source énorme de satisfaction. Chacune de ses actions est alors tournées vers le rabaissement des autres, la manipulation et la séduction.
Elle aime trainer dans les Club VIP branché où elle trouve ses ancres. Car étant donné qu’elle se lasse vite de ces derniers, elle change régulièrement d’ancre, ce qui la pousse à chasser pour en trouver sans cesse de nouvelle proie. Pour elle la chasse compte autant que le repas. Étant donné qu’elle laisse dans son sillage un certain nombre de cadavre à la vie sociale active, Belith est aussi passé maitre dans l’art du maquillage.

Belith est une démone duchesse gouvernant à 19 légions de démons. Lorsque la faille s’est ouverte, elle s’est d’abord méfiée de cette nouvelle opportunité. Mais rapidement, son désir de destruction et de perversion l’emportât et elle se retrouva sur terre. Rattrapé par la réalité de ce nouveau monde et à ses dangers, Belith pris cependant sur elle de ne pas déclencher immédiatement un nouvel âge de corruption. En effets, les démons se donnant en spectacles furent rapidement décimé par des hommes bénis de la déesse. Seuls les plus prudents et les plus intelligents survécurent, Belith fut de ceux-là. Elle adaptât une forme humaine ainsi un nom humain, Alice Deltour.

Mes premières occupations furent vitales : trouver une ancre… Cet acte, indigne de mon statut me fut pourtant imposé. Il me fallait des hommes de principe, avec une morale que je puisse corrompre. Les forcer à tromper leur entourage, à mentir à leur famille, à leurs femmes. Cela s’avéra plus facile que prévu tant l’âme humaine est sujet à la corruption. Les séduire était la partie la plus intéressante. Puis, créer des situations embarrassantes les obligeant à se trahir et à inventer sans cesse de nouvelles histoires. Ainsi, j’appelais sur le portable de la femme de mes ancres, laissais des preuves dans ses affaires… Et lorsque les mensonges éclataient, lorsque la tromperie se montrait sous son vrai jour, hideuse et informe, maladroite et répugnante, je me délectais alors de ce dessert, véritable fontaine d’énergie. Cependant, comme une bouteille que l’on sabre pour en déverser tout le contenu, mes ancres se retrouvaient vide, inutile… et collante. Elles s’accrochaient à moi tel des limaces à une feuille au-dessus d’un lac. Je devais m’en débarrassais. J’aurais pu les laisser dépérir, coupant tout contact avec eux, mais les tuer était tellement plus réjouissant. Je devais aussi mettre leur mort en scène. Et qui de mieux que la démone du mensonge et de la tromperie pour créer une histoire crédible pour ces ex-ancres-futur-cadavre ? Assassinat suite a une crise de jalousie, suicide, meurtre involontaire, les possibilités était et sont toujours immense. Et je dois avouer qu’après plus de 150 meurtres, mon imagination est toujours aussi créative…